Que l’on parle de respect du patient et de compassion et de disponibilité…..dans cet établissement pour ma part il n’y en a pas !
Papa est parti et nous laisse un grand vide mais…. « Oui ça arrive ! »

De mon côté, j'ai été parfaitement accompagné par toutes les personnes qui ont travaillé en relation avec ma mère, toutes ont été absolument adorables, et je leur suis extrêmement reconnaissant pour tout ce qu'ils ont fait ! Et je sais que ma mère s'est sentie très bien là-bas, avant que sa maladie ne l'emporte ! Elle n'a jamais été seule et elle ne s'est jamais plainte de quoique ce soit !

Après, comme la personne ci-dessus, je me suis dit aussi que j'aurais aimé être averti plus tôt que la fin était proche, etc...On fait des reproches aux gens parce que nous n'osons pas nous les faire à nous-mêmes ! Ce qu'il y a de sûr, c'est que le Docteur Beltrando m'a fait appeler quand il a senti que la fin approchait ! Et je crois sans l'ombre d'un doute qu'une semaine avant, il n'aurait pas pu prévoir ce qui allait se passer...Il faut accepter que tout n'est pas sous contrôle, que les maladies peuvent évoluer rapidement (ma mère est partie à cause d'un cancer qu'elle avait depuis 32 ans, ça s'est aggravé il y a 12 ans, puis depuis 8 mois...Et en une semaine, le foie a lâché, sans prévenir avant : qu'y a-t-il de prévisible ?) et que personne ne peut être responsable à sa place de l'amour que nous n'avons pas donné à ns proches ! Si moi aussi j'ai été pris de vitesse par la maladie de ma mère, si moi aussi j'aurais aimé pouvoir lui donner beaucoup plus, je n'en tiens pas les médecins pour responsable ! Pourquoi attendre les derniers moments pour donner ce que l'on a à offrir ? C'est de notre faute, point barre.

Je les remercie chaleureusement et sincèrement pour tout ce qu'ils ont fait pour ma mère, pour mon frère, et pour moi !

Lors du décès de la personne, il serait préférable de fermer la porte de la chambre à clé afin de demander à l'accueil l'accès à la chambre mortuaire.
Il serait nécessaire d'avoir un membre du personnel avec la famille.
Conséquence, j'ai été très très choqué par la non communication avec le personnel soignant, la non présence d'un médecin.
Je déplore le manque de prise en charge psychologique.

Les frères du défunt sont tous très choqués .

Olivier G.

Nous ne gardons aucun souvenir de chaleur humaine et nous ne recommanderons pas cet établissement.


J'ai également vécu le décès d'un être cher (ma mère) dans cette clinique, en juillet 2016, dans le service du Docteur Beltrando !
Pour moi, il est impossible de faire plus humain que ce que toutes les personnes croisées (femme de ménage, infirmières, docteur) ont fait ! Ils ont toujours répondu présent, même un samedi soir à 23h, et pas seulement pour faire le strict nécessaire, mais aussi pour passer du temps avec moi, me préparer à l'inévitable, à l'inenvisageable...Sincèrement je n'ai que remerciements à donner !

*** (16/10/2016 21:45)
Mon papa a récemment été hospitalisé au 4ème étage de la clinique Giono de Manosque.
Un certain nombre de choses se sont déroulées lors de son séjour.
Tout d’abord, l’accueil n’a pas été des plus agréable…le personnel para médical à peine aimable, froid et distant, se retranchant derrière une charge de travail importante en période de vacances estivales…..mais aussi, insistant sur le caractère « privé » de l’établissement. Un patient reste un patient et sa prise en charge ou que ce soit doit être optimale.
Papa était un malade facile, ne se plaignant jamais et s’accommodant des conditions de soins proposées de peur de déranger l’équipe.
Peut-être aurait-il dû être plus exigent, râleur ou contestataire sur sa prise en charge….un certain nombre de manquements n’auraient alors pas eu lieu.
En effet, une ordonnance donnée en main propre par maman à l’infirmière en charge de papa a été « égarée »…peut-on accepter cela dans un établissement de soins ? Doit-on attendre 4 jours pour commander le médicament en question et l’administrer ? N’a-t-on pas le droit de réagir lorsqu’on apprend que pendant 48 H il n’y a pas eu d’eau chaude dans l’établissement ? Ou encore que les douches ne sont données par l’infirmière que tous les 2 ou 3 jours et … sans laver les cheveux « à cause de la chambre implantable »….peut-on parler de qualité de soins dans tout cela ?.....et papa….a-t-on pensé à lui ? Comment se sent-il par rapport à ces évènements ? Prend- on le temps de parler un peu avec lui ? Avec son épouse ?....non…aucune communication, aucune empathie envers personne….du personnel soignant qui semble fuir le patient et sa famille.
Mais tout ne s’arrête pas là….lors d’un acte, le protocole de soins n’a pas été respecté….non seulement cela, mais on a attendu 3 jours pour prévenir le médecin que « papa chauffait »..Une fois de plus….est-ce acceptable ? Papa a contracté une infection et a dû être transféré à l’hôpital…. « Oui ça arrive » dit le médecin…..mais où sommes-nous et de quoi, parlons-nous ?
D’un patient qui en est décédé ….dans l’indifférence complète et la mauvaise prise en charge de cette maison de convalescence et de l’équipe responsable.

J'ai senti fortement que le personnel n'avait pas de formation sur l'accompagnement d'un malade en fin de vie.
La présence d'un psychologue dans l'établissement serait primordiale.
Pendant tout le séjour de mon beau-frère, il n'y a eu aucun mot gentil, aucune empathie, aucune parole ; silence complet.

*** (12/09/2016 21:13)
Bonjour,

Nous en voulons à la direction qui devrait faire le nécessaire pour modifier l'accueil et l'accompagnement du patient et de la famille.

Alors, en toute sincérité, et en totale contradiction avec le témoignage précédent, je vous prie de croire que si c'était à refaire, je conseillerais à ma mère de poser une dernière fois ses valises dans cet établissement, dans ce service ! Ils ont tout tenté, ils nous ont parfaitement bien soutenus et malheureusement ça n'a pas suffi...

*** (06/11/2013 18:12)
Mon beau- frère a été hospitalisé dans cette clinique avec une maladie grave.
Nous aurions voulu un peu plus d'humanité, vis à vis du malade mais aussi pour l'accompagnement de la famille. l'état du malade n'a jamais été révélé à la famille. Nous aurions pu accompagner le malade avec plus d'amour...